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Vous souhaitez envisager votre quotidien autrement ? il est peut-être temps d’apprendre à lâcher-prise !

by in Non classé 15 juin 2020

Comment lâcher prise ?

Le lâcher-prise,   n’est pas synonyme de renoncement ou d’abandon, mais plutôt d’une forme d’acceptation…

Acceptation que les choses arrivent pour une certaine raison, et si parfois toutes les circonstances sont réunies comme on aurait pu l’espérer, à d’autres moments, des poussières viennent se glisser dans les engrenages, et c’est ainsi. Nous n’avons aucune prise sur un certains nombres d’éléments extérieurs : la météo, l’environnement…et nous l’avons vécu très récemment la propagation d’un virus qui est venu balayer nos habitudes quotidiennes et transformer pendant quelques semaines les us de la population mondiale…

Acceptation de ne pas toujours être au meilleur de sa forme, au top :  les excès d’exigence sont épuisants… physiquement, émotionnellement et mentalement… et ne dit-on pas que « le trop est l’ennemi du bien »….

Acceptation que l’Autre n’est pas contrôlable (Il a sa volonté propre, son cheminement propre, son autonomie…) nous ne pouvons diriger la vie de l’Autre à l’aune de notre propre vécu,  en fonction de notre propre morale personnelle, ou selon ce qui nous semble bon…

En quoi la sophrologie peut-elle être un outil pour apprendre ce fameux lâcher-prise dont tout un chacun-e peut avoir besoin ?

Quelques pistes à explorer avec la sophrologie

  • En portant un regard objectif sur ce qui est : faire le point sur ce qui est ici et maintenant, accepter ce qui se présente sans jugements ni a priori ;
  • En focalisant son attention sur sa respiration, se centrant sur soi à l’écoute de ses ressentis ;
  • En apprenant à relâcher le négatif, par exemple le stress, les tensions générés par l’appréhension de tels événements, et à l’inverse en découvrant comment s’emplir de positif, comme le calme, ou la confiance pour envisager sereinement l’avenir ;
  • En pratiquant des exercices (de relaxation dynamique et des visualisations) pour prendre de la distance/s’imaginer  physiquement s’éloigner. Le cerveau ne faisant pas de différence entre ce qu’il imagine et ce qu’il vit, le ressenti de l’éloignement reste présent chez la/le sophronisé-e
  • En renouant avec des capacités, notamment d’adaptation/ d’acceptation ;
  • En acceptant ses limites, en apprenant à dire non…..

Et si « lâcher-prise » c’était tout simplement prendre chaque jour comme il vient, et l’apprécier ?

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